UNE QUESTION, Les FAQs Sur le Parc aquacole
Oui tous nos produits sont destinés à la consommation humaine.
C’est l’appellation commerciale du tilapia rouge (oreochromis niloticus) que nous élevons au Parc aquacole depuis 2001. Les tilapias sont des poissons d’eau douce (recommandé pour les régimes sans sel), d’origine africaine.
Pour des informations plus complètes rendez-vous sur notre page dédiée au rouget créole.
Le « loup caraïbe » est l’appellation commerciale de l’ombrine ocellée (Sciaenops ocellatus), un poisson de la famille du maigre -que l’on peut pêcher sur les côtes du sud-ouest de la France hexagonale – originaire du Nord du Golf du Mexique.
Pour aller plus loin rendez-vous sur la page Loup Caraibe du site du Parc Aquacole
Le ouassous (prononcer « ouassousse » à la manière des anciens) est une grosse crevette d’eau douce que l’on trouve à l’état naturel dans toutes les rivières des iles de la caraIbe.
Pour plus d’information, rendez-vous sur cette page du site dédiée aux ouassous
Les ouassous et les tilapias sont des espèces omnivores. Elles peuvent donc manger de tout dont du poisson. 99,9% des espèces de poissons marins sont carnivores. En mer le zooplancton est consommé par de petits poissons, qui sont eux-mêmes consommés par de plus gros, jusqu’au grands prédateurs comme les thons ou les marlins…Donc si l’on veut produire des poissons carnivores il faut leur fournir une part d’alimentation à base de poissons issus de la pêche dite « minotière » qui représente 20% de la pêche mondiale, ce qui peut paraitre aberrant…
Quelques éléments pour relativiser ce constat :
Des chercheurs canadiens ont établi les ratios de consommation de poisson pour certaines espèces. Ils ont ainsi démontré que pour produire 1 kg de chair, le thon adulte a dû consommer 100 Kg d’équivalent sardines ! faut-il pour autant arrêter de consommer du thon ? En pisciculture marine on estime qu’il faut 2 kg de poissons pour produire 1 kg. Il en fallait 4 il y a 20 ans ! La réduction de l’incorporation des huiles et farines de poissons dans les aliments piscicoles fait partie des défis posés à la pisciculture…
Actuellement plus de la moitié des farines de poissons est destinée à l’alimentation des porcs et des poulets, aux USA, au Brésil en Asie. Cette pratique a été proscrite en Europe. Depuis la crise de la vache folle, il est interdit d’utiliser des produits d’origine animale (dont les farines de poisson) dans l’alimentation des animaux terrestres. Ne faudrait-il pas généraliser cette interdiction pour que les farines de poisson ne soient destinées qu’au nourrissage des organismes qui en ont besoin ?
Les pêcheries de sprats et d’anchois qui servent à produire sont soumises à. Elles fournissent des quantités stables depuis plus de 20 ans, ce qui laisse supposer qu’elles sont plutôt mieux gérées et mieux contrôlées que les autres pêcheries.
Pour 1 Kg de poisson « noble » ramené à terre par la pêche industrielle, 2 kg sont rejetés morts à la mer ! Par ailleurs, l’essentiel des déchets issus du mareyage n’est pas valorisé…il y a là un immense gâchis.
Pour l’avenir, on parle de plus en plus des farines d’insectes qui pourraient constituer – au moins partiellement – une alternative à l’utilisation des farines de poissons…Pour l’instant ces farines d’insecte sont encore trop chères…
Si l’on refuse l’idée que les poissons soient nourris avec du poisson, il y a une façon simple d’être cohérent : ne plus manger de poissons carnivores, préférer la carpe au thon, ou mieux devenir végétarien !
non ! nous n’utilisons à aucun moment, ni antibiotiques, ni produits chimiques ou phytosanitaires dans nos élevages.
En étangs, la moitié des besoins nutritionnels des ouassous est poisson est fournie par la productivité naturelle (plancton, petits organismes). L’autre moitié est apportée sous forme de granulés composés des matières premières de bonne qualité : poissons sous forme d’huile et de farine, soja non transgénique et céréales.
En mer, les poissons sont nourris à partir de granulés riches en protéines, répondant aux besoins nutritionnels du loup caraïbe, produits avec du poisson sous forme d’huile et de farine, de soja non transgénique et de céréales.
Nos aliments sont fabriqués en France hexagonale par Biomar à Nersac (Gironde) et/ou le Gouessant en Bretagne.
Nos aliments ne contiennent pas de farine de viande.
Nous ne sommes pas situés dans une zone impactée par la chlordécone. Nos produits sont analysés régulièrement par la Direction de l’alimentation de l’Agriculture et de la Forêt, depuis 2009. Toutes les analyses ont mis en évidence l’absence de chlordécone dans nos produits. Dans le cas contraire nous serions contraints à la fermeture.
La ciguatera touche quelques espèces de poissons marins comme les barracudas, les carangues gros yeux ou les pagres dent de chien. Une toxine produite par des microalgues (Gambierdiscus toxicus) présentes sur les massifs coralien s’accumule tout au long de la chaine alimentaire et finit par devenir toxique pour les humains, chez des espèces listées et connues. D’une part, le loup caraïbe ne fait pas partie de ces espèces, d’autre part, c’est un poisson élevé qui ne se nourrit donc pas dans la nature et n’a donc aucune possibilité de bioaccumuler la toxine de la ciguatera.
Nous sommes également soumis à un agrément sanitaire qui nous oblige à l’auto-contrôle. Nous payons donc les services d’un laboratoire d’analyses (MAP) pour effectuer des analyses régulières de nos produits. Notre numéro d’agrément sanitaire : FR971-21-001CE.
Certains ne comprennent pas pourquoi ils devraient s’acquitter d’un droit d’entrée ou payer leurs poissons…Le Parc aquacole est géré par notre entreprise OCEAN SAS. C’est donc un site privé qui vit de ce qu’il produit et vend. Le Parc aquacole est entretenu pour qu’il vous soit agréable…
Nous ne récoltons que ce qui a été commandé. Si vous voulez du loup caraïbe, nous vous recommandons de réserver avant le lundi matin qui est généralement notre jour de pêche. Vous pouvez nous envoyer un mail à ocean@orange.fr ou info@parc-aquacole.fr ou directement sur notre site à la rubrique « commander vos loups caraïbes ».
Pour les ouassous, tout dépend de nos pêches et de la consommation de notre table d’hôtes. Il est plus difficile de pouvoir s’en procurer en pleine saison touristique, car nous les réservons prioritairement à nos assiettes. Vous pouvez toujours tenter votre chance…au pire nous vous mettrons en liste d’attente.
Oui dès lors que nous en avons en disponibilité. Pour les ouassous, nous privilégions la table d’hôte et la disponibilité n’est pas garantie.
Tout dépend de leur âge et de la composition du groupe de visiteurs. Nous orientons notre visite selon le public présent. Si le groupe est surtout composé d’adultes, la visite sera moins orientée vers les enfants, même si nous nous efforçons de les faire participer.
Non car cela demande un peu de préparation préalable et ce serait trop compliqué à gérer.
Tous les jours sauf le samedi (possibilité pour les groupes sur réservation), de 9h à 17h
Voir tous les horaires et tarifs du parc sur cette page.
Non, mais il faudra remettre le poisson à l’eau, vivant, dans le même étang que celui ou vous avez pêché.
Oui, dans ce cas vous pairez votre poisson au poids.
Si vous le souhaitez. Sinon nous mettrons à votre disposition canes à pêche, sceau et appâts. Le droit de pêche demeure de 5€ par pêcheur, sans limitation de temps.
oui mais il faut nous contacter au préalable pour définir ensemble la prestation que vous souhaitez, établir un devis, réserver une date et un créneau horaire.
la réservation est fortement recommandée pour la table d’hôtes si vous ne voulez pas risquer de ne pas avoir de place. Cela n’est pas nécessaire pour les autres activités. Nous contacter par téléphone au 0590 98 11 83 – ou par mail : ocean@orange.fr ou info@parc-aquacole.fr
Nous privilégions nos produits. Si vous êtes allergique, nous le signaler lors de votre réservation par téléphone ou par mail (0590 98 11 83 – ocean@orange.fr ou info@parc-aquacole.fr ) afin que nous puissions vous préparer un plat alternatif.
En principe non, mais tout peut se discuter.
Oui, les jours d’ouverture de la table d’hôtes (variable selon la période, les vendredi et dimanche midi pendant la saison touristique) ou du snack (les mercredi midi et les dimanche midi quand la table d’hôtes ne fonctionne pas.
Oui, moyennant un droit d’entrée. Nous nous réservons le droit de vérifier vos glacières lorsque vous repartirez (nous avons eu des clients indélicats qui ne souhaitant pas payer leurs poissons les cachaient au fond de leurs glacières).
Oui, il est de plain-pied, il n’y a pas d’étage, ni d’escalier, les berges des étangs sont carrossables. Nous avons une toilette pouvant accueillir un fauteuil roulant.
c’est possible mais il doit être tenu en laisse en extérieur. Il ne sera pas admis dans les locaux où sous notre auvent lorsque la table d’hôte fonctionne.
Non, un site de baignade doit répondre à des contraintes que nous ne pouvons assumer.
Certains membres de notre équipe sont anglophones ou hispanophones. Donc tout dépend de leur présence.